Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

vers de ma vie

14 avril 2013

Pour la maîtresse de mon fils

 

Pour la Maîtresse,

 

Des petits bonhommes, hauts comme trois pommes,

Et des petites bonnes femmes, tout comme.

Ils courent, jouent et cabriolent ou dansent

Autour d'un arbre dans une cour immense.

 

Sous les douces lumières de la maîtresse,

Ces enfants grandissent avec allégresse

Ils sont tout à la joie d'apprendre les choses

De ce monde rendu beau par cette rose.

 

Elle a un divin sourire empreint de rigueur

Et sait les contenir avec de la douceur.

Et bientôt, déjà, ils s’en iront tous en chœur

En lui chantant « adieu monsieur le professeur ! »

 

Yvon Peyrelade

 

Publicité
Publicité
14 avril 2013

Sans raison, Bien sur, ce n'est qu'un au revoir

 

Sans raison,

 

 

Bien sur, ce n'est qu'un au revoir

Mais c'est dur d'être mis à par,

De rater le commencement

Et renoncer à être amants.

Bien sur que je ne le veux pas

Mais je n'ai pas vraiment le choix,

Sartre ce moquerait de moi

Alors, tant pis, tant pis pour moi.

Je reste là, à sangloter

Et puis, je pourrai t'appeler,

Et puis je pourrai t'écouter

Mais je reste emprisonner.

Dans l'univers de mes pensées

Et dans mes vers, je vais noyer

Mon coeur et mes rêves d'Amour

Qui n'ont même pas vu le jour!

Je n'ai pas su comment agir,

Plus d'espoir et plus d'avenir,

Je n'ai même plus d'illusion,

Je vis sans aucunes raisons!

 

                               PEYRELADE YVON

14 avril 2013

Pour mon Premier Amour, Elle était là, il était

Pour mon Premier Amour,

 

Elle était là, il était là et puis voilà!

C'était simple, c'était tout bas et sans faux-pas,

Il se passait réellement quelque chose,

C'était bien plus qu'une métamorphose ;

 

Elle a ouvert mon coeur, elle a ouvert mes yeux,

Par elle, je suis né à ce que j'ai de mieux.

Pas besoin de mots, on sentait qu'il était là

L'Amour éternel qu'on ne connaît qu'une fois.

 

Entre ses bras, j'ai appris le sens de ma vie,

Elle m'a appris la passion, la poèsie.

Un sentiment s'est installé en silence

Et, quoique que je fasse, souvent j'y repense.

 

Il est certain que je ne pourrai l'oublier

C'est cet Amour qui, en moi, a tout allumé.

Un mot, sur mon coeur, est gravé à tout jamais

Son prénom mais je ne peux plus rien désormais.

 

Nous ne nous sommes jamais vraiment séparés

Elle est là, en moi, et je n'ai pas assumer,

Je me suis enfui dans toute ma lacheté

Et mon coeur s'est enchainé pour l'éternité.

                                             Yvon Peyrelade

14 avril 2013

Mon Ami

 

Mon ami (écrit en 1988)

 

 

                                  Mon ami

 

Tu sais, l'ami,  tout ça n'est rien,

Dans la vie, il faut voir plus loin.

Regardes, au-dessus de toi,

Il y a le soleil, là-bas.


Et puis, regardes l'horizon,

La nuit et le jour ont raison

De s'y embrasser tous les soirs

Car c'est une montagne d'espoirs.


Tu sais, je ne te connais pas

Mais je te dis de croire en Toi

Car, un jour, tu réussiras

Si tu gardes confiance et foi.


La vie n'a pas de destin

Notre avenir nous appartient,

Fabriques le avec tes mains,

L'excuse, ça ne sert à rien!


D'accord, la vie est un combat

Mais ne te décourages pas,

Affrontes la et n'ai pas peur,

Tu n'en auras que du bonheur!

 

Allez, va et crois en la Vie.

Tout est possbile tant qu'on vit

Un jour, elle te sourira

Le jour où tu l'accepteras

 

 

                                      Yvon Peyrelade

14 avril 2013

L'Amour c'est un peu Toi

 

L'Amour c'est un peu Toi,

 

 

Tu sais, l'Amour c'est un peu Toi,

L'Amour n'est pas toujours là-bas,

L'Amour, cela ne s'attend pas,

L'Amour ne te cherchera pas,


L'Amour, il est toujours ici,

Il est là, le jour et la nuit,

L'Amour est dans tout ce qui vit

Et, je crois, que tu vis aussi.


N'attends pas qu'on te le donne,

Il est en Toi, dans ta personne,

Fais, simplement, comme une fleur

Offre le en ouvrant ton coeur.


Aimer, ce n'est pas pour souffrir,

Aimer ce n'est pas pour mourir,

L'Amour c'est fait pour réjouir

Un coeur qui veut toujours l'offrir.


Tout l'Amour que tu peux donner

Te sera tojours renvoyé

En de plus grosses quantités

Que ce que tu en attendais.


                            PEYRELADE Yvon

Publicité
Publicité
14 avril 2013

La grenouille et le scorpion (d'aprés une histoire africaine)

La grenouille et le scorpion,

 

 

Un scopion attend, au bord d'une rivière

Pour aller sur l'autre rive, moins austère.

A la grenouille, il demande poliment :

"S'il te plaît, prends-moi sur ton dos un court instant".

 

Il se dit, qu'en deux coups de ses pattes palmées,

Elle aura, tôt fait, de le faire traverser.

La grenouille lui répond, "Tu vas me piquer

Si je te prends sur mon dos, alors, je mourrai."

 

"Allons, lui dit le scorpion, ne soit pas sotte

Car nous coulerions tous les deux dans la flotte.

Je ne sais pas nager et je mourrai aussi.

J'ai tant besoin de toi, aides-moi, je t'en prie."

 

A force de palabre, la grenouille plie

Le scorpion monte sur son dos et c'est parti.

Sur l'eau, tout à coup, elle sent la piqûre.

"Tu vois, tu l'as fait, j'ai senti la brulûre."

 

"Je sais, répondit le scorpion, mais c'est ainsi

On a beau dire ou faire, ainsi va la vie.

On ne peut échapper à sa vrai nature

Et tous les deux, dans les flots, ils disparurent.

 

Yvon Peyrelade (d'aprés une histoire africaine)

14 avril 2013

La cachette du bonheur

 

La cachette du bonheur,

 

 

Autrefois, les êtres humains étaient des dieux.

Ils abusèrent tant de leurs pouvoirs précieux

Et de tous leurs privilèges, à qui mieux mieux,

Qu'ils finirent par fâcher le maître des Cieux.


Ce dernier, déçu, leur ôte tous leurs pouvoirs

Et cherche une cachette où on ne peut les voir.

Il connaît trop bien les hommes, ces vieux briscards,

Et sait qu'ils risquent de les retrouver, tôt ou tard.


Il pense, d'abord, à les cacher sous terre,

L'homme creuserait et vaincrait ce mystère.

Le maître le sait, il pense au fond de la mer

Mais l'homme les sortirait de cet univers.


Mais où cacher leurs pouvoirs de divinité ?

Tout à coup, le maître des cieux eut une idée,

Je vais les camoufler tout au fond de leur cœur

Car les hommes cherchent toujours à l'extérieur.


Depuis, l'homme à creusé partout sur  la terre,

Exploré les flots depuis l'ère glacière.

Il cherche de tous les côtés le doux bonheur

des pouvoirs divins qu'il détient à l'intérieur.

 

                                                    Peyrelade Yvon

14 avril 2013

Ecrire

 

                       Ecrire,


 

Ecrire, vouloir écrire

Lorsque l'on ne peut rien dire,

Parce que l'espoir va s''enfuir

Et que l'on ne veut pas mourir.

 

Ecrire, comme un malade,

Sous des lumières blafardes,

Sur des papiers qu'on chaparde

Quand personne nous regarde.

 

Harmoniser des mots de feu

Pour y faire sécher nos yeux

Et pour parler d'une beauté

Que l'on a juste imaginer.

 

Ecrire pour chanter l'Amour

Qui vint nous enflammer, un jour,

Qui nous a fait aimer la fleur

Qui nous a déchirer le coeur.

 

Un soir, écrire son dépit

Ou son espoir, par vent de nuit,

Ecrire parce qu'on le doit

Parce qu'on nous montre du doigt!

 

                               Yvon PEYRELADE

14 avril 2013

Dernières pensées d'avant la fin du monde

Dernières pensées (peut-être)

 

Je pense que je vais être déçu,

Je croyais que tout serait résolu,

Qu'on repartirait d'où on est venu

Et que les soucis ne reviendraient plus!

 

J'ai compté les jours sans trop y croire,

Je l'attendais comme une victoire

Mais le ciel ne s'est même couvert,

Aujourd'hui n'est qu'une journée d'hivers!

 

Les Mayas auraient-ils fait une erreur ?

N'auraient-ils pas voulu nous faire peur

Pour qu'on prenne conscience que la vie,

Qui coule dans nos veines, est sans prix!

 

                            Yvon Peyrelade

14 avril 2013

Paradis

 

Paradis,

 

 

C'est une belle journée aujourd'hui

Un rayon de soleil de Picardie

Est venu m'apporter un peu de vie

Je rêve, de nouveau, au paradis

                         Yvon PEYRELADE

 

 

Publicité
Publicité
1 2 > >>
vers de ma vie
Publicité
Archives
Publicité